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EMILIE BENDER
Postière depuis 1914, c’est précisément sur le terrain de Cupidon que Jeanne Musil en connaît un rayon. « Il est grand temps de changer d’air, de dépoussiérer nos cœurs et de s’élancer vers l’amour - osons nom de nom ! » Alors chacun∙e y va de son matin, de sa peur et de ses rires pour combler l’absence qui engloutit les quotidiens.
Une porte sur la correspondance pendant la Grande Guerre derrière laquelle il y a de la tendresse, de l’humour, de la solidarité, de l’humain et on en a bien besoin !
Avec sa verve légendaire, Madame Musil nous livre quelques lettres en poste restante… et peut-être plus qui sait ?
Un spectacle en deux actes - avec distribution de courrier et levée de boîte postale.
(Photo de Julien James Auzan)

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